Call of Duty : Black Ops sur Xbox 360

Développé par Treyarch, édité par Activision.

Treyarch était un peu la bête noire de la série Call Of Duty. En effet, les épisodes développés par Infinity Ward étaient plus aboutis, pour ne pas dire nettement supérieurs. Alors que IW avait décidé d'abandonner la seconde guerre mondiale pour l'épisode 4 (Modern Warefare), Treyarch c'est obstiné à sortir un épisode 5 (World At War) revenant à cette période de l'histoire. Il aura fallu attendre 2010 pour que Treyarch nous offre un épisode qui se déroule un plus récemment avec Black Ops, fini la seconde guerre mondiale (enfin presque, mais on y reviendra). Alors, est-ce que ce changement est bénéfique pour Treyarch ?

Et bien le changement a du bon, et pas qu'un peu mes amis. Treyarch a réussi ce qu'il prévoyait avec son Black Ops, se faire une place d'honneur dans la série des Call Of Duty. Premièrement, ils nous ont pondu un scénario de folie. Vous incarnez principalement Alex Mason, un agent de la CIA qui se réveille attaché à une chaise, interrogé par un homme mystérieux et transfusé avec on ne sait quoi. Ces hommes veulent savoir d'où vient une série de nombre et ce qu'elle signifie. Alex n'en sait rien. Mais petit a petit, nous allons revivre ses souvenirs, au fil des missions, le scénario fort en rebondissements et vraiment prenant.
Nous incarnerons également, durant l'aventure, Dimitri Reznov (que l'on voyait déjà dans World At War) ou encore Hudson, un agent de la CIA. Ici, les changements de personnages ne sont pas si nombreux que par le passé dans la série des CoD. Ce qui nous permet réellement de suivre l'avancée et de nous attacher à eux. Les personnages non-jouables aussi ont leur charisme fou, puisque Reznov et Woods sont réellement des personnages que l'on aime suivre.
En plus de ces changements plutôt rare, le scénario plus approfondis que les CoD d'antan, fait que nous nous plongeons dedans, avec un plaisir non dissimulé.

Niveau gameplay, c'est du CoD et nul doute que les habitués ne seront pas dépaysés par la jouabilité. Nouveau mouvement cela dit, on peut désormais se jeter à terre après une course. (Sprint + B). L'ambiance de cette épisode, fourni par un scénario palpitant, est toujours aussi explosive. Ça explose dans tous les sens, on s'en prend plein les yeux et plein la tronche. Quelques séquences originales casseront votre train train quotidien de FPSeur. : driger des troupes au sol à bord d'un hélicoptère entre autres situations en véhicule, dont une moto. Les lieux sont aussi très variés puisqu'on passe de Cuba à la Russie. Même les époques le sont puisque, comme je vous l'ai dit, on ne lâche pas complètement la Seconde Guerre Mondiale, vous aurez droit à une super mission dans la peau de Reznov s'y déroulant. Enfin, graphiquement le jeu est superbe et donne encore plus d'ampleur aux effets qui vous en mettaient déjà plein la vue.

Le mode multijoueur est toujours aussi prenant que dans les Modern Warefare mais il se paye le luxe de quelques nouveautés. Maintenant, il y a des matchs à paris, car une monnaie à été implanté, les points CoD. Ces matchs à paris offre des modes tout nouveaux comme le mode « une balle chargée », entre autres. Donc, comme je le disais, les points CoD débarquent et du coup, maintenant, après avoir débloquée une arme, il faudra aussi l'acheter pour s'en équiper. Bref, des heures et des heures de jeu en plus, sans compter le mode Zombie directement implanté dans le jeu, sans patch ni mise à jour.

Une claque, malgré quelques bug (importants) que j'ai choisi de ne pas vous dévoiler car l'aventure n'en est pas gâchée grâce au scénario. Treyarch est dans la place.