Nouvelles confidences de Megan Hart

Elle Kavanagh a trouvé en Dan Parker l'amant parfait, disposé à satisfaire tous ses désirs, quels qu'ils soient. Mais jusqu'où est-elle vraiment prête à aller avec lui ?
Victime d'un sort puissant, Mira brûle d'un désir irrépressible, que nul amant ne semble pouvoir satisfaire. Mais ce qu'un seul homme ne peut faire, deux y parviendront peut-être...
Pour Eve, rien n'est plus excitant que de livrer à des inconnus, par blog interposé, ses fantasmes les plus fous. Protégée par l'anonymat de son clavier, elle n'hésite pas à aller très loin dans l'exploration de ses désirs. Jusqu'au jour où le monde virtuel et le monde réel se rejoignent...
Katie est délicieusement troublée par le défi qu'elle vient de lancer à Dean, son meilleur ami gay : à l'entendre, il serait le meilleur amant du monde. Mais serait-il capable de donner du plaisir à une femme ? En l'occurrence, à elle...

Alors qu’on retrouve Elle Kavanagh et Dan Parker (les personnages du Secret) qui vivent une période importante de leur mariage dans Bien plus qu’un amant, Dan voulant un enfant alors qu’Elle ne se sent pas prête, on fini vite par s’ennuyer. Le sexe, bien que très présent, trop vite expédié et le côté fleur bleue appuyé rendent cette histoire banale à souhait et plate. Heureusement, on sait ce que nous réserve la suite grâce à la quatrième de couverture et on garde espoir.


Avec raison peut-être puisque la nouvelle suivante, L’ombre et la lumière, commence comme un conte et cela nous réjouit déjà. Cette touche originale nous fait du bien. L’histoire qui plus est nous propose quelque chose de bien sympa. Une époque lointaine, une fée maléfique qui jette des sorts et une réelle morale, en nous on à tous du bien et du mal. Mais lorsque le côté conte cesse, revenant à une écriture plus traditionnelle, et malgré le côté sexe bien plus travaillé et prenant que pour la première nouvelle, l’histoire traine en longueur et on finit quand même par s’ennuyer… On croise les doigts pour la suite, on commence à perdre espoir, mais la nouvelle suivante à l’air originale, aussi dans le résumé.

Voici ce que je veux commence par un billet publié sur le blog d’Eve. Donc on se retrouve assez vite dans le bain et le côté blog et bloggeuse plait bien, surtout à ceux qui tiennent un blog évidemment, car suivre ce personnage qui surveille ses commentaires et ses habitués nous rappelle un peu notre vie de bloggeur. Passé ça, le sexe laisse à désirer, ne laissant que passer les fantasmes d’Eve à travers ses billets et lorsqu’un nouvel admirateur la drague, son cerveau mettant des jours à réagir sur l’identité de ce dernier nous donne envie de la baffer. Une cruche totale et un ennui qui va crescendo comme pour les nouvelles précédentes.

Le défi nous propose d’un côté une femme qui vit une idylle presque principalement par téléphone et de l’autre un gay qui vit une histoire récente avec un homme. Un jour le gay annonce qu’il peut tout à fait coucher avec une femme et alors, de fil en aiguille, le défi est lancé… dès le premier chapitre. On se retrouve au final avec une nouvelle en quatre chapitres alors que deux auraient suffit. Le châtiment final de cette œuvre. Le bouquet final qui nous achève. L’histoire qu’on ne finira peut-être même pas.

En bref, grosse déception que ce roman. Dommage la nouvelle L’ombre et la lumière était vraiment prometteuse et aurait pu projeter tout le recueil au plus haut de mon estime… Bref, je vais attendre que Harlequin publie un nouveau roman de Saskia Walker dans sa collection Spicy qui, elle, vaut le coup !
§Eddie§

2 commentaires:

  1. En tout cas, jolie couv ! Dommage pour le reste ! WDN

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  2. merci pour le com, je ne vais pas tenter ! tu as lu "envoûtement" de Walker ?

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